Un brouillard d’ondes quasi-permanent, appelé électrosmog, est présent dans nos logements, dans les lieux publics
et sur nos lieux de travail.
En faisant valoir le principe de précaution, certains territoires ont décidé d’appliquer des normes plus strictes que les normes réglementaires propres à chaque pays.
Des études scientifiques indépendantes, telle que l’étude bioInitiative de 2012 alertent sur les effets sanitaires indésirables d’une exposition permanente et sur le long terme.
A consulter également : Les valeurs indicatives préconisées en baubiologie pour les zones de repos
Toute installation électrique crée dans son voisinage un champ électromagnétique, composé d’un champ électrique et d’un champ magnétique.
Des études ont été réalisées afin de déterminer les effets potentiels de ces champs électromagnétiques sur la santé mais leurs conclusions ne sont pas unanimes.
À ce jour, il n’y a donc pas de consensus scientifique relatif aux
effets à long terme dus à une exposition faible mais régulière.
Néanmoins :
En 2002, Le Centre international de Recherche sur le Cancer (CIRC) de l’OMS (Organisation mondiale de la Santé) a classé les champs magnétiques extrêmement basse fréquence cancérogènes possibles (groupe 2B).
https://www.anses.fr/fr/content/champs-electromagnetiques-extremement-basses-frequences
En 2011, la CIRC a classé les champs électromagnétiques de radiofréquences comme peut‐être cancérogènes pour l’homme (Groupe 2B).
2011 : Résolution 1815 du conseil de l’Europe adopté par la commission permanente concernant le danger potentiel des champs électromagnétiques sur l’environnement :
http://assembly.coe.int/nw/xml/xref/xref-xml2html-fr.asp?fileid=17994
2017 : Campagne d’information « téléphone mobile et santé » lancée par le ministère de la Transition écologique et solidaire